Prix Marc St-Laurent
Le prix Marc St-Laurent est décerné uniquement à des motocyclistes qui se sont singularisés d’une manière vraiment exceptionnelle dans la défense et la promotion des droits et libertés des motocyclistes québécois.
Liste des récipiendaires du Prix Marc St-Laurent
2004 : Marc St-Laurent
2005 : Ginette Blouin et Pierre Tourigny
2006 : Normand Noiseux lors de l’AGA et Michel Desaliers lors de la Bisanuelle
2007 : René Caplette
2008 : Serge Huard, Claude Masson et Françoise Denis
2009 : Noël-André Scano
2010 : Monique Maheux
2011 : Régent Chagnon
Liste des récipiendaires de la Fraternité des Émérites
2004 : Michel Desalliers
2005 : Gilles Renaud et Ginette Blouin
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Prix Marc St-Laurent 2008
Nous n’apprendrons rien à personne en disant que le monde de la moto organisé, au Québec, est un monde extrêmement exigeant, en plus d’être rude, et ce plus souvent qu’à l’occasion. C’est aussi ce même monde de la moto du Québec que plusieurs, autant du Canada que des États Unis, d’Europe et d’ailleurs, viennent régulièrement consulter pour profiter de son expertise et de sa vaste expérience.
Si ce monde, en dépit de ses exigences et de sa rudesse, a pu développer une expertise aussi enviable et a pu acquérir une expérience d’une telle valeur, cela est dû, pour une très grande partie, à l’idéalisme et à la passion dont ont su faire preuve quelques rares motocyclistes hors pairs, durant de nombreuses années, et en dépit de toutes les difficultés et nombreuses adversités auxquelles nous devons souvent faire face… ce qui n’est pas peu dire.
Une organisation ne vaut que ce que valent ses éléments d’avant-garde; affirmer le contraire serait nier la réalité — pire, ce serait sombrer dans la démagogie. Conséquemment, en accord avec cette réflexion, le Comité d’action politique motocycliste a voulu reconnaître officiellement ces éléments en créant son Prix Marc St-Laurent, du nom de la personnalité qui, par son enthousiasme extraordinaire et son dévouement incomparable a probablement le plus marqué l’histoire du monde de la moto organisé au Québec.
Cette distinction honorifique, la seule créée et autorisée par le CAPM, est décernée uniquement à des motocyclistes qui se sont singularisés d’une manière vraiment exceptionnelle dans la défense et la promotion des droits et libertés des motocyclistes québécois.
Le récipiendaire que nous voulons reconnaître cette année est très certainement le plus grand élément d’avant-garde que nous venons de mentionner, car, celui-ci s’étant tellement impliqué et ce depuis la création de la première organisation pour la défense des droits des motocyclistes au Québec, que la simple mention de son identité en convaincra la vaste majorité de ceux qui suivent, avec le moindrement d’attention, la scène politique motocycliste québécoise.
Dans le contexte actuel de la société québécoise, tout ce qui, de près ou de loin, touche aux questions politiques est loin d’être une sinécure. Mais quand il s’agit des questions politiques qui concernent les motocyclistes, alors, là, on serait porté à croire que c’est même parfois plus proche du masochisme que d’autre chose. On veut faire de la moto et ne pas être importuné avec l’aspect politique, mais, forcément et logiquement, quelqu’un doit s’en occuper sérieusement, sinon, comme l’histoire nous l’enseigne amplement, d’autres s’en occuperont à notre place et pas nécessairement dans le sens de nos aspirations légitimes.
Notre récipiendaire est ce rare et précieux quelqu’un qui a eu l’audace de prendre ce risque et de l’assumer pleinement. Il s’est engagé et l’est demeuré tout en sachant parfaitement et pertinemment qu’il ne serait pas pour autant épargné par la critique, le chialage, les attaques et même l’animosité; son engagement est demeuré constante et soutenu tout au long de ces nombreuses années parce qu’il avait conscience que quelqu’un doit de le faire… à défaut de quoi, le vide n’existant pas en politique, nos droits et libertés seront définis et déterminés par d’autres que nous, les motocyclistes.
Son engagement au niveau politique est d’une importance et d’une intensité telles que, comme mentionné précédemment, personne d’informé n’oserait la mettre sérieusement en doute.
Rares sont les motocyclistes qui osent s’engager pareillement et qui prennent de le risque d’affronter autant d’adversité et de critique dans l’unique but de contrer des injustices envers les motocyclistes et de promouvoir leurs droits et libertés… tout en n’ignorant pas qu’en cas d’échec, ou d’apparences d’échec, plus d’un ne manqueront pas de lui en attribuer une partie de la responsabilité. D’accord, comme certains disent parfois, il le fait parce qu’il le veux bien, mais, ce qu’oublient de dire ces certains, rien ne l’oblige et c’est quand même nous tous qui en profitons… et même ceux qui l’ignorent.
Alors, en reconnaissance d’une contribution toute singulière, le Comité d’action politique motocycliste, par son conseil d’administration et au nom de tous ses membres et partisans, en cette assemblée générale annuelle 2008, a l’insigne honneur et le précieux privilège de présenter le Prix Marc St-Laurent 2008 à son éminent confrère :
Serge Huard
Retourner en haut de la pagePrix Marc St-Laurent 2011
Nous n’apprendrons rien à personne en disant que le monde de la moto organisé, au Québec, est un monde extrêmement exigeant, en plus d’être rude, et ce plus souvent qu’à l’occasion. C’est aussi ce même monde de la moto du Québec que plusieurs, autant du Canada que des États Unis, d’Europe et d’ailleurs, viennent régulièrement consulter pour profiter de son expertise et de sa vaste expérience.
Si ce monde, en dépit de ses exigences et de sa rudesse, a pu développer une expertise aussi enviable et a pu acquérir une expérience d’une telle valeur, cela est dû, pour une très grande partie, à l’idéalisme et à la passion dont ont su faire preuve quelques rares motocyclistes hors pairs, durant de nombreuses années, et en dépit de toutes les difficultés et nombreuses adversités auxquelles nous devons souvent faire face… ce qui n’est pas peu dire.
Une organisation ne vaut que ce que valent ses éléments d’avant-garde; affirmer le contraire serait nier la réalité — pire, ce serait sombrer dans la démagogie. Conséquemment, en accord avec cette réflexion, le Comité d’action politique motocycliste a voulu reconnaître officiellement ces éléments en créant son Prix Marc St-Laurent, du nom de la personnalité qui, par son enthousiasme extraordinaire et son dévouement incomparable a probablement le plus marqué l’histoire du monde de la moto organisé au Québec.
Cette distinction honorifique, la seule créée et autorisée par le CAPM, est décernée uniquement à des motocyclistes qui se sont singularisés d’une manière vraiment exceptionnelle dans la défense et la promotion des droits et libertés des motocyclistes québécois.
Le récipiendaire que nous voulons reconnaître cette année est très certainement l’un des plus grands éléments d’avant-garde que nous venons de mentionner, car, celui-ci s’étant tellement impliqué et ce depuis la création de la première organisation pour la défense des droits des motocyclistes au Québec, que la simple mention de son identité en convaincra la vaste majorité de ceux qui suivent, de près ou de loin, le CAPM depuis longtemps.
Dans le contexte actuel de la société québécoise, tout ce qui, de près ou de loin, touche aux questions politiques est loin d’être une sinécure. Mais quand il s’agit des questions politiques qui concernent les motocyclistes, alors, là, on serait porté à croire que c’est même parfois plus proche du masochisme que d’autre chose. On veut faire de la moto et ne pas être importuné avec l’aspect politique, mais, forcément et logiquement, quelqu’un doit s’en occuper sérieusement, sinon, comme l’histoire nous l’enseigne amplement, d’autres s’en occuperont à notre place et pas nécessairement dans le sens de nos aspirations légitimes.
Notre récipiendaire est l’un de ces rares et précieux quelqu’un qui a eu l’audace de prendre ce risque et de l’assumer pleinement. Il s’est engagé et l’est demeuré tout en sachant parfaitement et pertinemment qu’il ne serait pas pour autant épargné par la critique, le chialage, les attaques et même l’animosité; son engagement est demeuré constant et soutenu tout au long de ces nombreuses années parce qu’il avait conscience que quelqu’un doit de le faire… à défaut de quoi, le vide n’existant pas en politique, nos droits et libertés seront définis et déterminés par d’autres que nous, les motocyclistes.
Son engagement au CAPM, depuis les tout débuts, est remarquable en tout point et personne ne peut en prétendre le contraire.
Rares sont les motocyclistes qui osent s’engager pareillement et qui prennent de le risque d’affronter autant d’adversité et de critique dans l’unique but de contrer des injustices envers les motocyclistes et de promouvoir leurs droits et libertés… tout en n’ignorant pas qu’en cas d’échec, ou d’apparences d’échec, plus d’un ne manqueront pas de lui en attribuer une partie de la responsabilité. D’accord, comme certains disent parfois, il le fait parce qu’il le veux bien, mais, ce qu’oublient de dire ces certains, rien ne l’oblige et c’est quand même nous tous qui en profitons… et même ceux qui l’ignorent. Tous les nôtres venant de l’Outaouais peuvent en témoigner encore plus !
Alors, en reconnaissance d’une contribution toute singulière, le Comité d’action politique motocycliste, par son conseil d’administration et au nom de tous ses membres et partisans, en cette assemblée générale annuelle 2011, a l’insigne honneur et le précieux privilège de présenter le Prix Marc St-Laurent 2011 à son éminent confrère :